Poème mach'Allah sur la bienfaisance envers les parents

Publié le par une soeur fillah

 

Et ALLAH a décrété catégoriquement

de n'adorer que Lui

Malheur donc à la personne qui suit un

autre que son Créateur

Et il vous a recommandé les parents, excellez donc dans

la bonté envers eux

C'est cela l'essentiel, j'en jure par le Très Miséricordieux

Que de compassion et de gentillesse ne t'ont-ils pas offertes, et que

De fois n'ont-ils pas accordé de l'attention

aux heures de tes plaintes

Et ta mère, que de fois n'a-t-elle pas passé la nuit à

souffrir de ta grossesse

Et elle continue dans ses peines,

le chagrin et l'amertume

Et que n'a-t-elle pas souffert lors de l'accouchement

Et enduré des blessures qui détruisent

la peau, la chair et les os

Et que de fois ses paupières n'ont-elles pas

veillées par tendresse pour toi

Et ses entrailles, aflligées par le charbon ardent,

du reste de cendre chauffent encore

Et que de fois ne t'a-t-elle pas nettoyé

des excréments de sa main droite

Par tendresse et compassion, et a eu

énormément de soucis

Tu l'as abandonnée lorsqu'elle est devenue

âgée par aveuglement

Et tu en as eu assez d'elle et lui as fait

goûter au poison

Et tu vis tranquillement, épanoui et sans souci,

Occupé par les plaisirs et n'écoutant pas le reproche.

Tandis que ta mère est dans une famine rude et une grande solitude

A cause de ce qu'elle endure, le rocher massif s'attendrit pour elle

Est-ce là sa récompense après son long labeur

En vérité, tu es inculte ou alors tu es aveugle.

Publié dans poèmes et récits

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